J’aime dormir est le comparateur qui référence l’offre la plus complète du marché, des grandes enseignes aux marques en ligne. J’aime dormir est une société du Groupe Tediber, spécialiste français du marché de la literie et du confort, qui oeuvre depuis 2015 à apporter plus de transparence aux consommateurs. Retrouvez le détail de la méthodologie de classement et de la définition des critères.
J’aime dormir est une société du Groupe Tediber, spécialiste français du marché de la literie et du confort, qui oeuvre depuis 2015 à apporter plus de transparence aux consommateurs. Retrouvez le détail de la méthodologie de classement et de la définition des critères.
Nuits agitées, sommeil léger, cris, pleurs… Le sommeil bébé n’est pas de tout repos. Et pour lui, et pour ses parents ! Pour mieux comprendre, voici quelques explications et astuces qui vous aideront à traverser cette période plus sereinement.
Dormir est un aspect capital dans le bien-être de tous. En étant adulte, on nous renseigne sur les bienfaits du sommeil et ce qu’on pourrait en tirer comme avantages. Il en est de même pour les enfants. Par ailleurs, à leur niveau, c’est même beaucoup plus important parce que le sommeil participe à leur croissance. Un sommeil de qualité pour un bébé lui permet d’apprendre à mieux se concentrer. Sa mémoire est maintenue et lui permet de maintenir toutes les informations reçues parce que c’est pendant le sommeil que l’activité cérébrale est beaucoup plus accélérée. Aussi, il arrive à contrôler ses émotions et à un développement normal ou rapide. Par ailleurs, son cœur est protégé et se développe bien. Le sommeil du bébé participe à son développement intellectuel et physique.
Le bébé a des besoins spécifiques lorsqu’il s’agit du sommeil et du repos. Ces besoins varient en fonction de son âge :
Les premières semaines, on peut avoir l’impression que le sommeil du nourrisson dure autant la nuit que le jour, sans distinction. En effet, celui-ci ne distingue pas le jour et la nuit avant ses 8 - 10 semaines. Comment faire alors pour l’aider à prendre le rythme ?
Lorsque vous le nourrissez pendant la nuit, plongez votre environnement dans le calme. Peu de bruits, limitez les mouvements, baissez la lumière. Et à l’inverse durant la journée, stimulez-le. On sort se promener, on va faire les courses. Lors de sa sieste, ne fermez pas les rideaux et ne vous arrêtez pas de vivre. Par le bruit, il ressentira une forme d’activité autour de lui.
Beaucoup de parents après quelques semaines se posent la question. Mais à quel âge bébé fait ses nuits !
Pour que votre enfant fasse ses nuits, il doit être en mesure de faire des réserves d’énergie. Ainsi, il pourra rester 5 à 6 heures d’affilée sans boire. Mais le nourrisson doit également régler son horloge biologique. Cela passe par la bonne régulation de sa température corporelle, ses cycles hormonaux et son système cardio-vasculaire. Patience, il va apprendre de lui-même, à son rythme ! Mais vous pouvez tout de même l’aider.
À 8 semaines, 25% seulement des bébés font leur nuit. À 4 mois, 75%. À l’âge de 10 mois, ils sont environ 90%. Mais attention, il peut y avoir des régressions. Au moment des poussées de croissance notamment, votre enfant risque de demander davantage à boire durant 2 ou 3 jours.
Même si on ne peut pas tout contrôler, on peut au moins participer au bon sommeil de bébé. Souvenez-vous qu’il a passé plusieurs mois au chaud dans l’utérus, un milieu apaisant auquel il était habitué. Voici quelques astuces sur comment faire dormir bébé :
Un sommeil agité chez le nourrisson n’a rien d’anormal. Et s’il se réveille, ce n’est pas forcément pour réclamer à manger. Lorsqu’il construit ses phases du sommeil, le nourrisson peut être dans un changement de cycle et nécessite d’être rassuré par votre présence. Donnez-lui un petit doudou ou une couverture légère avec votre odeur.
Même après qu’il ait acquis de bonnes habitudes, certains bébés recommencent à se réveiller la nuit. Cela peut être dû à une poussée de croissance (généralement vers 3 mois) ou un changement d’environnement. Encore une fois, votre présence le rassurera et bébé se remettra à faire ses nuits !
Pas de recette miracle, mais quelques astuces vous aideront là encore. L’important étant d’être à l’aise et de tenir compte du tempérament de l’enfant.
À cette question, il n’y a pas vraiment de bonne réponse. Essentiellement une histoire de ressenti ! Au moment du coucher, l’enfant a peur du noir et de “l’abandon”. Il est alors difficile de ne pas agir.
Certains avis diront qu’il vaut mieux le laisser pleurer suivre cette technique d’entraînement au sommeil controversé, sous peine de se fâcher avec votre enfant. Cela pouvant aller jusqu’à la déprime. Avec pour conséquence une dégradation de la relation avec votre enfant.
D’autres personnes ne se sentiront pas à l’aise, en raison de leurs valeurs ou de la pression sociale. Dans ce cas, ne forcez pas votre nature, c’est tout votre environnement familial qui risquerait d’en pâtir.
Nous avons déjà évoqué certains symptômes. Cependant, il en existe d’autres comme :
Les trois premiers mois de l’enfant sont assez complexes quant à la régularité du sommeil. Il n’a aucune notion des phases d’une journée. Il ne sait donc pas qu’il faut faire de courtes siestes en journée et avoir un long sommeil la nuit. Il ne peut alors pas être hyperactif. Il est en pleine acquisition du rythme circadien. Le rythme s’installe progressivement à partir de 5 ou 6 mois.
Les bébés aussi souffrent de trouble du sommeil. Ceci peut sembler bizarre. Contrairement aux adultes, ils ne peuvent exprimer leur gêne. Par contre, plusieurs signes permettent de savoir que votre enfant est atteint de trouble du sommeil. Lorsqu’il atteint la phase d’un rythme régulier, il fait désormais la distinction entre le jour et la nuit. Il peut donc avoir des sommeils agités pendant la nuit, des réveils brusques et suivis de pleurs, pas pour réclamer forcément de la nourriture. Aussi, le fait de se lever brutalement et de s’accrocher à vous décrit sa peur de l’abandon et le besoin d’être rassuré de votre présence. Plusieurs autres facteurs peuvent participer à son changement. Il faudra le rassurer de votre présence.